Tranches de vie et tranches de rèves

J'ai pris dernièrement une dizaine de jours de vacances, en même temps que mon homme. Nous avions prévu de passer 3 jours dans la capitale britannique, mais pour les raisons fumeuses que vous savez, ca ne s'est pas fait. Nous sommes donc restés sur Toulouse. Mais ne vous inquiétez pas, nous ne sommes pas du tout resté à glander.

Je vous avais parlé en début d'année de mon désespoir et de mon manque de motivation par rapport à mon travail. En trois mois, j'ai eu le temps de bien réfléchir. Et même d'aller un peu plus loin. Je me suis posé maintes fois la question : "A quoi bon?"

Les gens qui n'ont pas vécu avec moi s'imaginent sans doute que je suis quelqu'un de posé, de zen, de calme. Ces mêmes personnes savent que je m'énerve facilement mais pas beaucoup, qu'il y a beaucoup de choses qui m'irritent, mais que je sais garder mon sang froid.

Certes. Mais pas que.

Bon. Non, je ne suis pas mort. J'ai juste été un peu fainéant. Des bouquins à lire, du boulot qui m'occupe beaucoup, du wow qui me prend du temps et quelques sorties avec des amis. Et puis je n'ai pas grand chose à dire en ce moment. Je n'ai pas suivi l'histoire de Badinter, qui semble occuper pas  […]

Je souhaite à toutes les personnes passant encore dans le coin tout ce qu'il y a de bon (voire de meilleur) pour cette année qui commence. Que tout ce dont vous avez besoin se réalise.

Il est temps que j'écrive ce billet. Il trotte dans ma tête depuis déjà plusieurs semaines, suite à diverses actions de notre gouvernement et de ses membres. Depuis ces actions, je m'interroge. Suis-je français? Est-ce que je me ressens vraiment français? Et puis d'abord, c'est quoi "être français" pour moi?

(Alors bien sûr, d'autres personnes, d'autres bloggeurs, se sont posés la question. Des articles fleurissent un peu partout sur le net. Une bonne partie sera écrite par des gens plus intelligents que moi. Mais là, c'est ma propre réflexion. Je l'écris non seulement pour qu'elle soit lue, mais aussi pour me forcer à y réfléchir. (Ça risque être un peu décousu.))

Comme je disais la semaine dernière sur Twitter, j'étais sur Paris ce week-end avec mes parents. Ma mère avait une réunion le samedi soir et nous en avons profité pour y aller tous les trois et visiter un peu.

Ce matin, je ne travaillais pas, j'avais prévu de farmer des bêtes dans wow pour augmenter mes compétences en travail du cuir. C'était sans compter sur la bête qui partage mon logement. (Je parle bien sûr du chat, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit.)

Je faisais partie d'un groupe folklorique. Depuis mes sept ans, je participais à une grande majorité de spectacles, animations, rencontres, réunions, etc... J'allais même à l'AG de la confédération nationale. Je participais beaucoup. Mes parents étaient (et sont toujours) encore plus impliqués. Cet été, j'ai fait part de ma volonté de prendre un congé temporaire du folklore. Mal m'en a pris

Comme promis (oui, c'était il y a plus d'un mois), je vais vous parler ici de mon alignement et de celui de Bill. L'alignement d'une personne correspond à son comportement et à sa moralité. Il y a 9 alignements possibles qui sont : loyal bon, neutre bon, chaotique bon, loyal neutre, neutre (neutre), chaotique neutre, loyal mauvais, neutre mauvais et chaotique mauvais. Afin de couper court à toute remarque, je précise que bon ou mauvais se rapporte au Bien et au Mal et pas au talent. Non parce que quand j'ai dit qu'on pouvait être bon ou mauvais, certaines enseignantes de ma connaissance m'ont dit "Mais bon en quoi?"

Je vais vous parler boulot, ça faisait longtemps. Boulot, demande de congés et foutage de gueule. Vous comprendrez que je sois énervé. Ça a commencé il y a déjà plusieurs mois, mais le cas qui nous intéresse date d'hier.

Désolé, mais c'est un peu long.

Comme vous le savez, j'etais en congés du Mardi 28 Avril au Dimanche 10 Mai inclus. C'etait tres bien. En fait, à part, les 3 premiers jours, j'etais vraiment en vacances. J'ai completement deconnecté ma vie habituelle et j'ai fait autre chose.

Un "ami" bloggueur se fait des idées sur moi. Je mets ami entre guillemets, parce que vu ce qu'il s'imagine, il ne me connait pas aussi bien qu'on pourrait le croire.